J’ai rejoint Écolo avant tout pour son projet émancipateur. Pour créer les conditions d’une réelle égalité à tous les niveaux, pour lutter contre la reproduction sociale et la peur qui exclut.
Mais si c’est par le prisme de l’(in)justice sociale que j’ai adhéré au projet de l’écologie politique, la question environnementale ou l’éthique en politique n’en sont pas moins importantes à mes yeux ; tout est lié ! On sait que les conséquences dramatiques du changement climatique, de la pollution, de l’épuisement des ressources ou de la perte de biodiversité sont réparties de manière particulièrement injuste et frappent plus durement celles et ceux qui y ont le moins contribué ; et c’est pour garantir une démocratie saine et assurer à chacun.e un traitement équitable qu’il faut lutter contre les passe-droits, le clientélisme et la concentration du pouvoir.
Je m’engage avant tout pour davantage de justice et de droits pour les personnes malmenées par la société : personnes migrantes et sans papiers, sans-abri, détenues…
À la Chambre des représentants, je suis active sur les dossiers liés à la Justice et à la Constitution. Convaincue que la répression pénale, en particulier la prison, sont des voies sans issue, je tente de participer à faire évoluer la vision à ce niveau, tout en portant une attention constante aux impacts des politiques sur les droits des femmes et des personnes les plus vulnérables.