Le 9 novembre dernier, j’ai participé au colloque « La Belgique fédérale : forces et faiblesses d’un fédéralisme atypique« , qui s’est tenu au Parlement bruxellois.Cet événement visait deux objectifs principaux.

Premièrement, près de dix ans après la sixième réforme de l’État belge, le colloque s’est donné pour mission d’analyser et d’évaluer les forces et les faiblesses du fédéralisme belge dans son état actuel. Deuxièmement, il a offert une tribune pour discuter des propositions de changement émanant de la société civile, des acteurs académiques et du monde politique, en prenant en compte leurs implications financières et institutionnelles, tout en tenant compte du contexte socio-économique actuel et à moyen terme des différentes entités.

Structuré autour de quatre grands thèmes, le colloque a abordé les principes de la répartition des compétences et les fondements de l’organisation institutionnelle fédérale de la Belgique, les enjeux d’une éventuelle réforme de l’État belge pour différentes politiques publiques, les implications financières de différents scénarios de réformes institutionnelles, ainsi que les procédés actuels et futurs des réformes de l’État belge.

Cette journée s’est inscrite dans une démarche prospective, éclairant les citoyens et les différentes parties prenantes sur les conséquences, les tenants et les aboutissants de certaines évolutions possibles dans le paysage institutionnel belge. Merci à Céline Romainville et Emmanuel Slautsky pour les réflexions stimulantes et très utiles pour mon travail parlementaire dans la commission de la Constitution et du Renouveau institutionnel !

Retrouvez l’intégrale du colloque : ici